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 C est quoi la musique classique ?

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Yannick
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Xavier
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 16:41

toccata a écrit:
vous deviez le sujet ....

Venant de ta part c'est mortellement drôle de lire ça! lol!
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 18:23

il y a la vérité
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 18:27

en voilà ma conception :



Oui, Monsieur, oui, Madame, c'est parce que « le discours est dur » que l'efficace en sera douce ; c'est parce que le livre est «amer à la langue » que, plus bas, il sera tonique et guérissant.




Les poteaux dressés sur les routes ne mettent pas leurs indications en un style doux et fleuri : ils affichent le style de leur utilité. Nets, directs, insistants et autoritaires, ils ne disent point : si je me trompe, ils ne doutent point d'eux ils ne s'excusent pas de lancer rudement aux yeux des gens qui passent les flèches de la direction et les chiffres de la distance. Mais le voyageur s'en plaint il ? Pour peu qu'il ait le coeur à philosopher, il rend grâce à l'auteur de brutalités profitables dont il ne se sent même pas tyrannisé.

A lui de ralentir ou de presser le pas, de suivre ou de changer son orientation. La pierre milliaire dit seulement en termes clairs ce qui est, et ce dont il faut qu'il tienne compte. Plus la donnée précise bornera la pensée et plus, en raison même de cette borne étroite, les fantaisies du coeur, les voeux de l'imagination, les besoins, les commodités et les intérêts personnels obtiendront de sécurité et pourront se donner carrière. Une indication incertaine., une donnée ou vague ou fausse, en paraissant flatter l'arbitraire du promeneur, restreindront la liberté de ses mouvements, de son repos, diminueront ses pouvoirs réels, car les risques attachés aux conséquences d'un itinéraire nonchalant ou capricieux:; se trouveront multipliés par l'insuffisance de son information.

C'est une grande erreur de penser que les contingences,, comme on dit, s'accommodent plus aisément d'un principe lâche et flottant : bien au contraire, toute indécision des principes complique l'étude des faits, aussi bien que leurs traitements ; l'incertitude se trouve ainsi introduite au seul point d'où pouvait leur venir un peu de lumière, aux complexités de la terre se seront ajoutées des ombres dans le ciel.

La vérité, soleil dur mais clair, se contente d'établir de haut ce qu'il faut savoir et penser avant que d'agir. Elle montre le bien, elle marque le mal, elle fait distinguer les proportions suivant lesquelles l'un et l'autre se rencontrent et se mélangent dans la variété infinie de nos cas humains. Une fois éclairé ainsi, l'homme est loin d'avoir résolu les problèmes de sa vie pratique, mais il tient de quoi les résoudre, et si, comme cela lui arrive trop fréquemment, il ne trouve guère à choisir qu'entre des maux, il discernera mieux lequel sera le moindre, son effort pourra s'appliquer à la fuite du pire, ce qui fait peut être le plus grand point du gouvernement de soi même ou d'autrui.

Non seulement la vérité est défendue par ce qu'elle a de naturellement général, d'élevé, d'abstrait et d'étranger à l'homme, mais pour se décider à gravir jusqu'à elle, il faut un élan généreux de la pensée au delà du présent, un large calcul d'avenir. Pour adhérer à cette vérité que tout voile, il faut en outre un effort de la volonté imposant silence, à bien des instincts.

La vérité (je ne dis pas la sincérité, je dis la vérité entière, l'accord d'un langage et d'une pensée avec les réalités du dehors), la vérité peut être encore autre chose que la suprême volupté de l'intelligence : c'est l'habileté souveraine, c'est la force toute puissante.

La sincérité n'est pas la vérité. L'intention la plus droite et la plus ferme volonté ne peuvent pas faire que ce qui est ne soit pas.

Ne sous estimons aucune vertu, mais rendons justice aux vertus de l'évidence. Il n'y a pas de sourire, de grimace ou de papotage de beaux esprits qui puisse tenir contre elles. Les décisions qu'elles entraînent sont graves, parfois pénibles, dans la vie de l'esprit, la vie extérieure ne s'en accommode pas toujours, mais le service qu'elles rendent est tel qu'elles emportent tout.

Le vrai vaut par lui même. Mais il y a des vérités amères et des vérités douces. Il y en a d'utiles, il y en a de dangereuses. Il y en a qu'il faut réserver pour les sages et d'autres qui conviennent à la nourriture de tous.

Quelques révolutionnaires purement oratoires et mystiques peuvent estimer que, fable ou vérité, c'est toujours bien assez bon pour le peuple! Nous croyons que le peuple n'a pas des besoins moins exigeants que l'élite. Il lui faut de la vérité comme du pain. Le mensonge historico politique vous empoisonne un peuple tout aussi proprement que le cyanure de potassium.

Un dédain qui ne s'exprime pas n'agit pas. Au contraire, une erreur et un mensonge qu'on ne prend point la peine de démasquer acquièrent peu à peu l'autorité du vrai.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 18:52

toccata a écrit:
vous deviez le sujet ....
vous faites l amalgame de tout et melangez tout....
Je ne faisais que répondre à tes derniers posts.

Et j'ai déjà donné ma définition ici :

https://musiqueclassique.forumactif.com/musique-contemporaine-f4/c-est-quoi-la-musique-classique-t758.htm#7524
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:01

toccata a écrit:
La sincérité n'est pas la vérité. L'intention la plus droite et la plus ferme volonté ne peuvent pas faire que ce qui est ne soit pas
signé Charles Maurras Wink

j'ai l'impression que ton texte est un copier-coller pur et simple...


Dernière édition par le Lun 14 Jan - 19:16, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:04

je ne suis pas sensible aux compositeurs contemporains dont les compositions m echappent totalement. Je n ai pas envie d essayer de comprendre... Il manque une unité de style comme dans les siecles passés. Ca ne me parle pas plus qu une toile d un musée d art contemporain...
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:05

oui et alors . Je ne vais pas le reecrire .... Il dit juste . Comme toujours .
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:07

volà bien le plus grand esprit , le plus clairvoyant du 20e siecle... Une pensée inoie qu on ne pourra pas occulter éternellement
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:21

toccata a écrit:
oui et alors . Je ne vais pas le reecrire .... Il dit juste . Comme toujours .
Cite le dans ton post au moins... Rolling Eyes

Sinon je ne suis pas d'accord avec ses idées, mais au moins (et d'après le peu que j'en ai lu) il écrit bien mieux que son disciple actuel Renaud Camus.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:22

toccata a écrit:
je ne suis pas sensible aux compositeurs contemporains dont les compositions m echappent totalement. Je n ai pas envie d essayer de comprendre... Il manque une unité de style comme dans les siecles passés. Ca ne me parle pas plus qu une toile d un musée d art contemporain...
Il y a des tas de bouquins qui peuvent t'aider, le tout est de s'y mettre et d'avoir le "déclic", c'est comme tout.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:23

encore faut il l avoir lu pour etre d accord ou pas avc ses idees . Elles se fondent justement sur LA vérité.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:24

je n ai pas envie de comprendre. Ca ne me parle pas......
dejà que je suis étranger a la musique du 19e ...
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:28

idem dans l autre sens : il y a tant de gens musiciens ou non et qui n aimentb et n écoutent que la musique de la perode apres Mozart. Avant ils pensent qu il n y a rien ... ou ne veulent pas savoir.......
C est d ailleurs etrange car ils admettent pour la musique ce qu ils n admettent pas pour la peinture par exemple . Qui penserait qu n peinture il n y a rien avant David ?
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:32

toccata a écrit:
encore faut il l avoir lu pour etre d accord ou pas avc ses idees . Elles se fondent justement sur LA vérité.
J'ai lu de A à Z le texte que tu as mis ainsi que d'autres textes sur le site qui est consacré à l'écrivain (c'est mieux que rien pour le moment), mais je ne suis pas d'accord avec cette idée (assez "religieuse") de Vérité absolue.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 19:54

pourtant...........
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 14 Jan - 20:04

autre copier coller résumé de la principale theorie de Maurras qu il appelait
l mpiraisme organisateur . Ily est question de LA verité .

L’Empirisme Organisateur C est quoi la musique classique ? - Page 2 PrintButton C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmailButton
Écrit par remy
23-11-2007

PLAN





1-l’histoire contre les idéologies


Linéarité de l’histoire/ il y a des “nécessités” en histoire.


L’objectivité en histoire


La critique de l’histoire


2-de la fiction à l’idéologie, un mythe fondateur de la démocratie. Le contrat social: décomposition de ‘l’homme social’ composition d’un “individu contractuel”


Pourquoi cette fiction mythique mène aux idéologies: “l’homme-dieu” face à la “nature raisonnable”.





3-analyse de trois conséquences communes aux idéologies


L’humanisme contre l’écologie.


L’homme-dieu ne peut être que démocrate (dilution de la


Souveraineté dans le nombre).


La démocratie, face au progrès, ne peut être que centralisatrice


(Tentative de reconstruction d’une souveraineté).





CONCLUSION: L’EMPIRISME ORGANISATEUR, ou la conciliation de la nature et de la raison.





I) l’histoire contre les idéologies.





Ø C’est peut-être dans la pensée politique de l’action française que le mot “histoire” prend son sens le plus noble. En effet, l’étude de l’histoire, pour porter un maximum de fruits, doit être en même temps “objective”, et “critique”. En parvenant à joindre ces deux impératifs, c’est à l’ensemble des conceptions idéologiques que s’oppose l’action française, s’en suit la découverte d’une voie “royale” de l’étude politique : l’empirisme organisateur.


Ø Pour ce qui est de l’objectivité, cet impératif écarte dès l’abord la possibilité d’inventer un quelconque schéma de l’histoire (selon lequel les différents changements intervenus au cours de l’histoire seraient les maillons d’une chaîne de progrès, en vue d’une fm bien déterminée) Les événements historiques ont tous quelque chose d’unique, il n’y a donc pas globalement de progrès à proprement parler. C’est ce qu’entend Maurras lorsqu’il souligne, dans “mes idées politiques” :


Ø “Jl ne s ‘agit nullement de lois du DEVENIR, de lois du mouvement des sociétés, de lois de leur DYNAMISME, mais bien des LOIS DE LEUR ETAT”. (Partie 4, “les lois”)


Il n’y a donc pas de formule magique dans l’histoire, mais seulement des événements qui ont coutume d’en entraîner d’autres . C’est à ces différents phénomènes qu’il faut s’attarder; et non pas à un hypothétique déterminisme historique . Ainsi devons-nous dire que si nous sommes royalistes, ce n’est pas à cause d’une soit-disante supériorité de principe de la monarchie sur les autres régimes, mais tout simplement parce que la monarchie est, compte tenu de l’état actuel des choses, le “moins pire” des régimes

Quant à la critique de l’histoire, c’est une nécessité sans laquelle aucun projet politique ne serait possible. Si d’un certain côté il n’y a pas de volonté déterminée en histoire, d’un autre côté, l’histoire n’est pas non plus un amalgame de dates et de personnages sans lien d’une période à l’autre. Certains faits historiques sont suffisamment récurrents pour nous permettre de parler de “nécessités”. Celui qui négligerait tout ou partie de ces constantes au profit de ce qui devrait être fausserait son examen de l’histoire : de critique, il deviendrait interprétatif, puis son interprétation deviendrait subjective (c’est à dire que sa démarche serait inversée, la conclusion précéderait les faits au lieu d’en résulter). Le plus grand risque encouru avec un tel type de comportement est de sombrer dans une sorte de “cristallisation romantique”. C’est ainsi par exemple, qu’à Moscou, on a longtemps refusé d’attribuer la loi de relativité universelle à Einstein, sous prétexte que cela ne concordait pas avec l’idéologie communiste ; lorsqu’on invoquait le fait réel de sa découverte, ils répliquaient en invoquant une sacro-sainte “partialité socialiste” (l’expression était utilisée par eux-mêmes !),ou encore lorsque Dubcek tentait de redonner un “visage humain” au socialisme, c’est à dire, tentait de le réconcilier avec certaines réalités humaines, ce sont des chars que Moscou dépêchera sur place, et pas des théoriciens...


Il y a donc des lois, des nécessités, qui ne soufflent pas d’être diluées, ni dans une formule globale, ni dans un amalgame informe d’événements et de dates juxtaposées.


“Est-il vrai qu ‘il faille enseigner l'histoire aux enfants sans qu’ils la comprennent et de façon à meubler leur mémoire de quelques dates et de quelques événements ? C'est extrêmement douteux. On ne s'en prendrait pas autrement si l’on voulait tuer 1 ‘intérêt. En tout cas, un âge vient, et il vient très vite, où l’on a besoin d’un fil conducteur, où 1‘on soupçonne que les hommes d’autrefois ressemblaient à ceux d’aujourd’hui et que leurs actions avaient des mo4/s pareils aux nôtres. On cherche alors la raison de tout ce qu ‘ils ont fait et dont le récit purement chronologique est insipide ou incohérent.


“... Mais comment serions-nous de parti pris puisque notre objet est de présenter dans leur enchaînement les événements de notre histoire ? Nous ne pouvons la juger que par ses résultats. Et, comparant notre condition à celle de nos ancêtres, nous sommes amenés à nous dire que le peuple français doit s’estimer heureux quand il vit en paix et dans l’ordre





Cette conception de l’histoire est simple. C ‘est celle du bon sens.”


Jacques Bainville, avant propos de “Histoire de France”





II) La notion de physique politique





Ø Selon la thèse démocratique, la politique relève du seul domaine de la liberté de l’individu. Théorie du contrat social. Le volontarisme politique. En conséquence, chacun possède sa vérité. On départage les vérités suivant la loi du nombre, à moins que la volonté du groupe ne prétende incarner la volonté générale.





Ø Cette thèse est démentie par l’observation de la réalité : la « politique naturelle ».


- L’homme ne naît pas libre


- L’homme, pour grandir et développer ses facultés, a besoin de l’aide et de la protection de la société,


- Les homes ne sont pas égaux. Diversité et complémentarité.


Il existe donc une nature sociale de l’homme. Il y a des phénomènes où la volonté de l’homme n’intervient pas : la physique sociale.


Il n’est pas question de nier la liberté, mais elle s’ajoute à la nécessité. « On ne commande à la matière quand lui obéissant » (BACON)


Bien distinguer ce qui relève de la science politique et ce qui relève de la morale. L’une s’applique à la connaissance, l’autre à l’action. Ne pas confondre morale individuelle et morale politique comme le font habituellement les gens de gauche, notamment les démocrates chrétiens.





III) L’empirisme organisateur





Ø MAURRAS reprend le terme à Sainte – BEUVE et l’applique à la politique. L’empirisme organisateur est « la mise à profit des bonheur du passé en vue de l’avenir que tout esprit bien né souhaite à son pays » « L’histoire est le premier maître en politique ». (Joseph de MAISTRE). Tirer les leçons du passé : la tradition est critique. Refus des idéologies de toutes sortes.


Ø MAURRAS donne un caractères scientifique à la démarche empirique qui, de tous temps, a été celle des hommes de bon sens. Il dégage une politique positive là où s’entrechoquent d’ordinaire les opinions.


Ø Il démontre qu’il existe des lois de la politique, des constantes, que l’on peut découvrir par le procédé de l’induction. Ce sont des lois de l’état des sociétés et non des lois de leur devenir. Ces lois sont conditionnelles : elle laisse sa place à la liberté de l’homme. Elle reçoivent leur sanction des événements ultérieurs. Distinction de la science politique (étude des phénomènes et de leur loi) et de l’art politique (mise à profit des lois politique en vue de l’action).


Ø C’est autour de la notion d’empirisme organisateur que se sont regroupés les fondateurs de l’Action Française. Leur réaction patriotique devant l’affaiblissement du pays les conduits à ressentir la nécessité d’une doctrine pour son relèvement. L’empirisme organisateur représente un compromis intellectuel par delà les querelles philosophiques ou métaphysiques.


Cependant les conclusions de l’empirisme organisateur (induction) rejoignent celle de la doctrine catholique (établie par voie de déduction).






IV) Application de l’empirisme organisateur







Les différentes lois de la politique :


Ø Lois fondamentales communes à toutes les sociétés.


Exemple : les méfaits de l’idéologie et des régimes démocratiques. Le « politique d’abord ».


Ø Lois se reportant à telle ou telle question de politique intérieure ou extérieure.


Exemple : les prédiction de BAINVILLE en 1920 dans ses « conséquences politiques de la paix ».





Ø Lois concernant les institutions par rapport à telle nation déterminée.


Les institutions politiques qui conviennent à un pays doivent correspondre à sa nature politique. Refus des schémas théoriques plaqués sur la réalité (exemple communisme).


Les conséquences de la république démocratique en France : priorité accordée à la politique intérieure sur la politique extérieure. Le règne de l’étranger. La démagogie – reine. La centralisation inévitable. La guerre sociale entretenue. Le socialisme.


L’histoire autant que l’analyse du tempérament politique des Français conduisent à reconnaître la nécessité pour la France de la Monarchie.


Pas n’importe quelle monarchie : la monarchie héréditaire, traditionnelle, représentative et décentralisée. Ce n’est pas affaire de goût ou d’opinion. La nécessité d’une telle monarchie se démontre scientifiquement.





V) Conclusion : L’empirisme organisateur permet d’atteindre la vérité politique, seul guide sûr l’action politique.





BIBLIOGRAPHIE :


- Charles MAURRAS : Nos idées politiques (Ed. Fayard)


Au signe de Flore (Ed. Grasset)


De la politique naturelle au nationalisme intégral (Ed. Vrin)

- Jacques BAINVILLE : Les conséquences politiques de la paix
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MessageSujet: musique classique   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptySam 19 Avr - 3:59

je me permets de rebondir sur ce qui a été écrit un peu plus haut : une sculpture africaine ne vaudrait rien par rapport à une sculpture de Donatello ? Et donc, notre culture vaudrait mieux que la culture africaine ? Ces propos me rappellent assez désagréablement ce que malheureusement beaucoup de gens pensent : l'occidentalisme serait la seule bonne façon de vivre... et cela mène au racisme.
J'affirme pour ma part qu'en effet, TOUTES les cultures se valent. Nul besoin d'être aussi savant que Donatello pour comprendre que si l'art dans notre société occidentale est tel qu'il est aujourd'hui (ou tel qui a pu être à la Renaissance), c'est parce que les peuples de l'émisphère nord ont bénéficié d'un climat plus agréable que ceux de l'émisphère sud, ce qui a entraîné une agriculture plus performante, donc une économie pus florisante etc. Et l'art n'est pas autre que la représentation de la société dans laquelle il voit le jour. Pour le peuple africain, une sculpture en ois a autant de valeur que le Penseur de Rodin en a pour nous. Il me paraît déplacé de faire des comparaisons techniques de maniement des outils ou je ne sais quoi, dans le but de prouver que le métier de nos artistes est meilleur que celui des artistes africains, ou de tous autres continents. Pardonnez-moi cette invective, mais je suis assez choqué de trouver de tels propos sur un forum comme celui-ci.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptySam 19 Avr - 16:19

Ne t'inquiète pas, ces propos son ceux d'un malade pervers qui a sévi ici et sur d'autres forums et qui depuis en a été exclus.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 5 Mai - 13:09

Cédric a écrit:
je me permets de rebondir sur ce qui a été écrit un peu plus haut : une sculpture africaine ne vaudrait rien par rapport à une sculpture de Donatello ? Et donc, notre culture vaudrait mieux que la culture africaine ? Ces propos me rappellent assez désagréablement ce que malheureusement beaucoup de gens pensent : l'occidentalisme serait la seule bonne façon de vivre... et cela mène au racisme.
J'affirme pour ma part qu'en effet, TOUTES les cultures se valent. Nul besoin d'être aussi savant que Donatello pour comprendre que si l'art dans notre société occidentale est tel qu'il est aujourd'hui (ou tel qui a pu être à la Renaissance), c'est parce que les peuples de l'émisphère nord ont bénéficié d'un climat plus agréable que ceux de l'émisphère sud, ce qui a entraîné une agriculture plus performante, donc une économie pus florisante etc. Et l'art n'est pas autre que la représentation de la société dans laquelle il voit le jour. Pour le peuple africain, une sculpture en ois a autant de valeur que le Penseur de Rodin en a pour nous. Il me paraît déplacé de faire des comparaisons techniques de maniement des outils ou je ne sais quoi, dans le but de prouver que le métier de nos artistes est meilleur que celui des artistes africains, ou de tous autres continents. Pardonnez-moi cette invective, mais je suis assez choqué de trouver de tels propos sur un forum comme celui-ci.

Bonjour,

Je me demande bien où vous êtes allé chercher dans les propos de l'Invité ce que vous vous autorisez à transcrire : « l'occidentalisme serait la seule bonne façon de vivre »... ce qui vous conduit à asséner cette sentence : « cela mène au racisme »...

Si une civilisation, et son avancement, est entièrement conditionnée à son climat plus ou moins « agréable », c'est que la culture (ensemble des aspects intellectuels propres à une civilisation) n'y joue aucun rôle moteur en terme de représentation, ou sublimation. En déduire que toutes les cultures — effet induit du climat dans lequel elles voient le jour — se valent revient à postuler que tous les climats se valent. Mais vous dites justement que tous les climats ne se valent pas. Il faudrait savoir !

Que pour le « peuple africain (sic), une sculpture en bois ait autant de valeur que le Penseur de Rodin en a pour nous » empêche nullement de considérer de facto la supériorité de la civilisation « occidentale » dans son avancement par rapport à la civilisation « africaine »...

La civilisation, donc aussi la culture : ensemble des aspects intellectuels propres à une civilisation, une nation (Petit Robert).

Comme le dit l'Invité, la civilisation dite occidentale, donc sa culture, triomphe aujourd'hui sur toute la planète. C'est un fait incontournable (les JO à Pékin, les « Folles Journées » de la musique classique à Tokyo) . Elle triomphe et s'impose partout car elle est la plus avancée. Mais s'agit-il encore de culture, ou seulement (ex. : l'industrie festivalière) de gris-gris d'une société entièrement vouée à la consommation compulsive de ses produits, fussent-ils appelés « culturels » ?...
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 5 Mai - 16:14

Oplatt a écrit:
Je me demande bien où vous êtes allé chercher dans les propos de l'Invité ce que vous vous autorisez à transcrire : « l'occidentalisme serait la seule bonne façon de vivre »... ce qui vous conduit à asséner cette sentence : « cela mène au racisme »...
Je ne sais pas si tu as lu tous les messages de "l'invité" en question mais le racisme larvaire de certaines remarques ne laissait aucun doute.

Oplatt a écrit:
Comme le dit l'Invité, la civilisation dite occidentale, donc sa culture, triomphe aujourd'hui sur toute la planète. C'est un fait incontournable (les JO à Pékin, les « Folles Journées » de la musique classique à Tokyo) . Elle triomphe et s'impose partout car elle est la plus avancée.
C'est clair, elle est "dominante" (et les peuples dominés s'y soumettent implicitement et même inconsciemment), mais peut t'on absolument affirmer qu'elle serait réellement si "avancée" sur tous les plans ? (même si elle l'est objectivement au niveau des sciences, de la médecine, etc...)

Il y a, par exemple, dans notre rapport (occidental) à la nourriture un paradoxe que je relève souvent : nos traditions culinaires extrêmement riches, sophistiquées et donc quasi "savantes" (fromages, vins, charcuterie, etc... je pense à la cuisine française, italienne ou allemande) ne nous absolument jamais protégés réellement et totalement contre les maladies et ne nous aident pas non plus à vivre longtemps en bonne santé - même si la France n'est pas la pire sur ce plan. Toutes les études prouvent même le contraire (à quelques exceptions près bien entendu) et recommandent paradoxalement d'en revenir à des cuisines "peu avancées", "primitives", simples (sans être simplistes), très peu riches, peu copieuses et souvent crues : le régime Okinawa (le meilleur du monde en terme de longévité et de qualité de vie !), le régime crétois, etc... Alors bien sur que Mozart n'a rien à voir avec la cuisine (quoique !) mais ce paradoxe culinaire m'amuse parce qu'il prouve avant tout que, toute "domination" (qu'elle soit culturelle ou économique) est foncièrement arbitraire et qu'elle ne peut absolument pas prétendre à une perfection intrinsèque et absolue qui lui donnerait le droit de juger "de haut" toutes les autres cultures (et là je ne parle pas de la "culture Inrock", la "culture 68", la "culture bobo" ou la "culture Libé", qu'on soit bien d'accord).

Oplatt a écrit:
Mais s'agit-il encore de culture, ou seulement (ex. : l'industrie festivalière) de gris-gris d'une société entièrement vouée à la consommation compulsive de ses produits, fussent-ils appelés « culturels » ?...
Débat classique par rapport au mot culture : doit-on parler de la culture au sens "anthropologique" (voire normatif) du terme, ou de la Culture au sens "humaniste" du mot (sachant que ça implique forcement une domination de l'occident méditerranéen sur les autres civilisations presque condamnées par défaut à suivre le mouvement pour le meilleur mais souvent pour le pire : "réflexes" de colonisateurs, guerres, malbouffe, etc...).


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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 5 Mai - 18:29

kfigaro a écrit:
Oplatt a écrit:
Je me demande bien où vous êtes allé chercher dans les propos de l'Invité ce que vous vous autorisez à transcrire : « l'occidentalisme serait la seule bonne façon de vivre »... ce qui vous conduit à asséner cette sentence : « cela mène au racisme »...
Je ne sais pas si tu as lu tous les messages de "l'invité" en question mais le racisme larvaire de certaines remarques ne laissait aucun doute.

Oplatt a écrit:
Comme le dit l'Invité, la civilisation dite occidentale, donc sa culture, triomphe aujourd'hui sur toute la planète. C'est un fait incontournable (les JO à Pékin, les « Folles Journées » de la musique classique à Tokyo) . Elle triomphe et s'impose partout car elle est la plus avancée.
C'est clair, elle est "dominante" (et les peuples dominés s'y soumettent implicitement et même inconsciemment), mais peut t'on absolument affirmer qu'elle serait réellement si "avancée" sur tous les plans ? (même si elle l'est objectivement au niveau des sciences, de la médecine, etc...)

Il y a, par exemple, dans notre rapport (occidental) à la nourriture un paradoxe que je relève souvent : nos traditions culinaires extrêmement riches, sophistiquées et donc quasi "savantes" (fromages, vins, charcuterie, etc... je pense à la cuisine française, italienne ou allemande) ne nous absolument jamais protégés réellement et totalement contre les maladies et ne nous aident pas non plus à vivre longtemps en bonne santé - même si la France n'est pas la pire sur ce plan. Toutes les études prouvent même le contraire (à quelques exceptions près bien entendu) et recommandent paradoxalement d'en revenir à des cuisines "peu avancées", "primitives", simples (sans être simplistes), très peu riches, peu copieuses et souvent crues : le régime Okinawa (le meilleur du monde en terme de longévité et de qualité de vie !), le régime crétois, etc... Alors bien sur que Mozart n'a rien à voir avec la cuisine (quoique !) mais ce paradoxe culinaire m'amuse parce qu'il prouve avant tout que, toute "domination" (qu'elle soit culturelle ou économique) est foncièrement arbitraire et qu'elle ne peut absolument pas prétendre à une perfection intrinsèque et absolue qui lui donnerait le droit de juger "de haut" toutes les autres cultures (et là je ne parle pas absolument de la "culture Inrock", la "culture 68", la "culture bobo" ou la "culture Libé", qu'on soit bien d'accord).

Oplatt a écrit:
Mais s'agit-il encore de culture, ou seulement (ex. : l'industrie festivalière) de gris-gris d'une société entièrement vouée à la consommation compulsive de ses produits, fussent-ils appelés « culturels » ?...
Débat classique par rapport au mot culture : doit-on parler de la culture au sens "anthropologique" (voire normatif) du terme, ou de la Culture au sens "humaniste" du mot (sachant que ça implique forcement une domination de l'occident méditerranéen sur les autres civilisations presque condamnées par défaut à suivre le mouvement pour le meilleur mais souvent pour le pire : "réflexes" de colonisateurs, guerres, malbouffe, etc...).

1/ Le racisme est la préoccupation obsessionnelle de l'anti-raciste. Je ne suis pas plus anti-raciste que raciste, et donc inapte à en déceler l'état « larvaire », ni un kapo du système...

2/ La question, réelle, des « peuples dominés qui se soumettent implicitement et même inconsciemment » est une question à laquelle seuls les dominés peuvent répondre. Pour savoir — si on a quelque doute — qui sont actuellement les dominés et qui sont les dominants, lire la presse « progressiste » (toute la presse donc !) en remplaçant le mot Dominants pas Bons et Dominés par Méchants (vocabulaire simplificateur typiquement journalistique !).

Par ex., les couples célèbres Chavez (méchant)/Uribe (bon), Castro (méchant)/Kennedy, Bush ou Clinton (bons et si gentils), Olmert (bon)/Amadinejad (très méchant), Sarkozy (bon ou méchant)/Royal (méchant ou bon), etc.

3/ Bien entendu, ici, nous parlons de culture humaniste.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 5 Mai - 18:59

Oplatt a écrit:
1/ Le racisme est la préoccupation obsessionnelle de l'anti-raciste. Je ne suis pas plus anti-raciste que raciste, et donc inapte à en déceler l'état « larvaire », ni un kapo du système...
disons que tu sembles être un anti-anti-raciste sur le coup Wink comme Renaud Camus ou Nabe (au nom de la haine de "l'opinion"), et c'est assez tendance aussi ! Wink

bon personnellement je n'en fais pas un combat non plus (je trouve assez débile de pourchasser sans relâche la moindre petite ombre qui pourrait ressembler à du racisme, même le mot "nègre", "noir" voire même négritude est connoté maintenant... l'anti-racisme forcené est effectivement un intégrisme comme un autre, nous sommes d'accord), mais là je me bornais à te dire ce que je connais de cet invité (pour l'avoir pas mal lu à l'époque où il n'était pas banni)

Oplatt a écrit:
Bien entendu, ici, nous parlons de culture humaniste.
c'est bien ce que j'avais compris ! Wink
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 5 Mai - 19:34

Je ne sais pas pourquoi l'Invité a été « banni ». Je constate, en furetant deci-delà sur les forums que le bannissement devient le seul « événement » de ces forums en général, tellement ils sont « modérés », c'est-à-dire censurés, ligotés, timorés et somme toute aussi bien-pensants que les médias dont ils reproduisent les sempiternels prêches...
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 EmptyLun 5 Mai - 20:09

Oplatt a écrit:
Je ne sais pas pourquoi l'Invité a été « banni ». Je constate, en furetant deci-delà sur les forums que le bannissement devient le seul « événement » de ces forums en général, tellement ils sont « modérés », c'est-à-dire censurés, ligotés, timorés et somme toute aussi bien-pensants que les médias dont ils reproduisent les sempiternels prêches...
Il a été banni (par l'administrateur qui vient de temps en temps, mais peu souvent) parce qu'il passait son temps à mettre des photos pornos et à provoquer un peu gratuitement tout le monde (c'était une sorte de troll quoi...), ce qui ne l'empêchait pas de temps en temps de lancer des débats tout à fait intéressants.
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MessageSujet: Re: C est quoi la musique classique ?   C est quoi la musique classique ? - Page 2 Empty

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