Je suis assez d'accord avec ce que dit Jolan, mais on doit noter qu'il n'est pas non plus anodin de considérer qu'il puisse y avoir un départ a ce qu'on appel la musique moderne (d'avant 2nde guerre modiale) qui est le
prélude à l'après-midi d'un faune de Claude Debussy, créé en 1874. Il est vrai que malgrès d'autre travaux intéressant ce poème symphonique (si je ne dis pas de bêtise) propose un nouveau style d'écriture dans le temps, par succesions d'impressions, une ébauche de séquentielle (non? enfin je pense) qui se démarque complétement des paradigmes de musique romantique, jusque là au dévellopement très linéaire. Dans ce sens il a une manière nouvelle de composer, sa façon de moduler, par exemple, est volontèrement déséquilibrée. De plus, dès l'introduction sur une mélodie chromatique à la flûte, la tonailté dérivait, tandis que chez Richard Wagner il était hors de quéstion de l'abandonnée et les techniques bi-tonale étaient finalement sous influences tonale, contrairement à la manière dont Arnold Schönberg abordera la poly-tonalité. Donc du point de vue des paradigmes fondamentaux, qui appartiennent finalement à une culutre, et je pense que c'est cette notion de culture qui détermine que l'on sépare des époques, il est normal de faire la différence entre le modernisme qui a connue Arnold Schönberg, Edgard Varèse, Igor Stravinsky, Charles Ives, Béla Bartók, Claude Debussy, Arthur Honegger (...) et le romantisme marqué entre autre par Franz Schubert, Franz Liszt, Pitor Illitch Tchaikovsky, Richard Wagner, César Franck, Guisepe Verdi... Même si le terme moderniste est un peu curieux puisqu'après tout, au XIXème, la musique romantique pouvait sûrement aussi être qualifiée de moderne! Mais bon puisque je pense que ces ségmentation de l'histoire de la musique se justifient par des contextes culturels différents, c'est vrai que ça prends plus de sens au XXème siècle. J'ai volontairement cité ci-dessus des compositeurs très différents pour faire comprendre qu'il n'y a rien de plus détéstable qu'une étiquette et que les termes baroquisme, classicisme, romantisme ou moderniste ne définissent en aucun cas des styles. Mais il ne faut pas pour autant les rejeter à 100% : d'un côté il faut réster ouvert et ne surtout pas se dire "oh non pas lui, j'aime pas les romantiques!", il faut juste ce dire "j'aime la musique, essayons!". Mais avoir un indice culturel, tel que de savoir que Antonio Vivaldi appartient à l'époque baroque, même si ça n'est pas suffisant, c'est un bon repère déjà, il est évident qu'on ne pourra par exemple pas repprocher à un classique comme Wolfgang Amadeus Mozart de faire de la musique tonale, c'est idiot, quéstion de culture après tout! Donc un repère c'est utile mais pas detrminant étant donné que l'histoire de la musique n'est pas séquentielle, d'autant qu'il n'y a finalement pas eu de véritable cassure, même au XXème, tout est continue et chacun s'appuie sur le passé pour avancer.
Pour ce qui est de la musique dite contemporaine, rien ne justifie son appélation de contemporaine (Benjamin Britten est mort en 1976!), qui par définition ne devrait concerner que des oeuvres très récentes, comme rien ne justifie non plus qu'on la sépare de la musique moderne, enfin je pense. Il y a beaucoups de nouvelles chose (musique stochastique, récement vie artificielle Inteligence artificielle...) mais il y a aussi beaucoups de continuations directes : la musique sérielle nous vient de Schönberg/Hauer, la musique éléctronique a été largement initié par Varèse, Charles Ives à influencé une bonne partie de la musique américaine actuelle (Steve Reich, John Cage...) etc...
Conclusion :
*Premièrement, je rappel donc que si l'on parle de musique baroque, classique, romantique, moderniste ou contemporaine, il ne s'agit pas d'un style ni d'un siècle particulier (la musique baroque s'étend de la fin du XIVème jusqu'en 1750 à peu près), mais d'un contexte culturel qui se base sur des paradigmes musicaux caractéristiques. Cependant on s'accorde souvent a déterminer une période assez approximative a chaque contexte, qui prend souvent son sens qu'en plein essort. Mais cela pose toujours des petits prolèmes, par exemples certains veulent penser que Ludwig van Beethoven est un romantique, d'autre qu'Arnold Schönberg est un contemporain, et d'une certaine manière ils n'aurainet pas forcément tord bien sûr.
*Le modernisme est la période qui va du
prélude à l'après-midi d'un faune de Claude Debussy (1874), jusqu'a l'avant guerre, enfin on dira plutôt avant les années 1950 sans date déterminée. On fait souvent l'amalgame avec des compositeurs tels que Sergueï Porkofiev ou Arthur Honegger (déjà je vois pas le rapport mais bon il y en a qui aime bien dire n'importe quoi), mais c'est une erreur : la musique moderne n'est pas un style, elle correspond bien, comme la musique Baroque ou Romantique, a une certaine culture. Je dirais que le paradigme qui la caractérise le mieux est justement le fait qu'on ne puisse pas la définir par des paradigmes précis! Disons qu'il y a une volonté d'exploré tout, la tonalité jusqu'a l'épuisé, la modalité, la poly-tonalité, l'atonalité, la polyrythmie, la musique éléctronique et j'en passe! Pour des exemples de compositeurs dit "modernistes" : Arnold Schönberg, Edgard Varèse, Igor Stravinsky, Charles Ives, Béla Bartók, Claude Debussy, Arthur Honegger, Alban Berg, Dmitri Chostackovitch (...)
Pour plus d'infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_moderne Bien qu'il soit à étoffé cet article, mais je m'en chargerais!
*La musique dite contemporaine normalement ne devrait désigné que les oeuvres récentes. Mais il y a un abus de langage et on a tendance a l'associé a la musique d'après guerre (après 1950 disons), on pourrais donné donc comme repère le dévellopement croissant (mais déjà initié) de la musique éléctronique, de la musique concrète, l'arrivée de la musique stochastique et une frénésie folle pour la musique sérielle. On expérimente aussi la musique aléatoire, répétitive, mais Charles Ives avait déjà posé des pierres dans plusieurs domaines. On pourrais peut-être considérer que cette époque est marqué par un grand dévellopement d'outils proposés à l'époque moderniste. Dans ce sens, érroné mais accépté, des compositeurs contemporains très représentatif pourraient être Pierre Henry, Iannis Xenakis, Olivier Messiaen, Pierre Boulez, Eliott Carter, György Ligeti ou John Cage par exemple. Quand Jolan dit que la musique contemporaine "
va plus ou moins de SCHOENBERG à nos jours", je crois que ça n'est pas si simple hélas. On considère souvent qu'Arnold Schönberg ou Anton Webern font partie de ce paradigme de musique contemporaine, mais pour moi ça n'a guère de sens puisque je pense qu'on ne devrait pas séparé cette époque, qui est la notre normalement, du modernisme. Mais enfin comme elle dit, de toute façon
- Citation :
- La musique se contrefout, et elle a bien raison, du calendrier chrétien
Pour plus d'infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_contemporaine Même si je trouve que cet article reste discutable du point de vue de la neutralité.
*Sinon c'est tout de même vrai que d'une manière générale on fait de Schönberg, LE compositeur du XXème...